Serais-je autiste ?

Serais-je autiste ?


dimanche 29 décembre 2024
publié le dimanche 12 janvier 2025

SOMMAIRE

Aujourd’hui, en 2025, qu’en est-il ?
Quelles seraient les causes ?
Pouvons-nous en guérir ?
Mais à propos quels sont les symptômes de cette maladie ?
À propos de cette maladie ?
Pourquoi te parler de l’autisme et quel lien avec la spiritualité ?
   Les signes 1 et 8
   Les signes 3 et 5
   Les signes 6 et 7.
   Les signes 2 et 4
Suis-je autiste ?
   L’enfermement
   Je guéris
Autres symptômes ?
   L’humour
   Le regard franc
   La perception du genre
   La pensée rigide
   Entendre
   L’état mental
Pour conclure
Les pages liées
Notes



Né en 1959, dans les années 1960, j’ai entendu mes parents parler de l’autisme comme d’un problème psychiatrique qui rend les autistes extrêmement violents, entièrement renfermés sur eux-mêmes, incapables d’une quelconque interaction avec leur entourage, y compris leurs parents.

Aujourd’hui, en 2025, qu’en est-il ?


Selon certaines statistiques, une personne sur cent serait autiste. Aux États-Unis, ce serait une personne sur 36 ! Dans les années 1960, seul une personne sur 10.000 était reconnue portant cette affection. Comment se fait-il qu’il y ait eu cette inflation ?
  • Les uns disent que c’est à cause des métaux lourds que nous absorbons par les vaccins et dans la nourriture.
  • Les autres disent que c’est dû à un meilleur recensement et à une meilleure compréhension de cette maladie.

En fait, les deux thèses sont exactes, l’une et l’autre se complètent.

Quelles seraient les causes ?


Pour ce qui est des métaux lourds, il y a un problème à cela, on naît autiste, on ne le devient pas. Ce n’est pas ce que nous ingurgitons qui rend autiste. Les métaux lourds ne sont donc pas la cause directe. Par contre il est prouvé que les métaux lourds ont une action directe sur l’autisme.

Autant le dire, aucun spécialiste n’a pu déterminer la ou les causes exactes de cette maladie. Ils n’émettent que des hypothèses. Ils disent même qu’il s’agit aussi d’un trait de la personnalité. Et tous affirment qu’il est impossible d’en guérir, dans la mesure que ce ne serait pas qu’une maladie. Il n’y aurait aucune thérapie vraiment efficace.

Par expérience[1], je penche sur la perception qu’en a Anne Givaudan[2]. Elle dit que la cause directe serait une peur que l’âme aurait eue lors de la gestation du fœtus. Dans ce cas, puisque nous avons tous choisi les grandes lignes de notre destin avant de naître, l’autisme serait une maladie karmique. Il faut donc chercher les véritables causes dans les vies passées, et notamment la dernière.

Pouvons-nous en guérir ?


Si c’est une maladie, cela se soigne et se guérit. Encore faut-il connaître les thérapies qui fonctionnent. Pour le moment, elles ne sont pas connues. Seuls des traitements et des protocoles permettent d’en atténuer les symptômes pour rendre la vie plus facile à vivre.

Si c’est un trait de la personnalité, cela devient impossible à soigner. Les scientifiques aimeraient-ils considérer l’autisme comme un trait de la personnalité pour ne pas avoir à se poser de question, et devoir agir ?

Pourtant, par un travail intérieur, son chemin spirituel, il est possible de travailler sur sa personnalité pour corriger ses défauts, comme tout le monde doit le faire. Ne nous sommes-nous pas incarnés pour cela ?

Si c’est une maladie karmique, une régression serait suffisante pour s’en sortir.

Dans l’histoire, plusieurs autistes ont réussi à s’en sortir et à guérir. Ceux-ci sont statistiquement rares. Mais ils y sont arrivés. Par conséquent, il est possible d’en guérir, contrairement aux défaitistes scientifiques.

Notamment, il va de soi que la foi en la guérison est indispensable, ainsi que la foi en le Divin, dans sa religion d’origine. Car le Divin peut faire passer en nous l’Énergie de guérison, en quelque sorte, faire un miracle.

Mais à propos quels sont les symptômes de cette maladie ?


Il faut savoir trois choses :
  • Il y a autant de formes d’autisme qu’il y a d’autistes dans le monde.
  • L’autisme est à la fois une maladie et un trait de caractère.
  • Jusqu’à présent, aucun remède, aucune thérapie, n’a permis de guérir de l’autisme qui est dit inguérissable.

Ceci dit, il y a trois symptômes récurrents :
  • Des dysfonctionnements dans la communication (verbale et non verbale) et les interactions sociales ;
  • Des troubles du comportement, intérêts et activités restreints et spécifiques ;
  • Une tendance aux réactions inhabituelles et inadaptées aux stimulations sensorielles.

Pour établir le diagnostic, il est recherché ces huit signes :
  • Signe n°1 : Difficultés relationnelles
  • Signe n°2 : Sensibilité sensorielle élevée
  • Signe n°3 : Centres d’intérêt spécialisés
  • Signe n°4 : Mise en place de routines
  • Signe n°5 : Compétences surdéveloppées dans un ou quelques domaines
  • Signe n°6 : Problèmes de sommeil
  • Signe n°7 : Troubles anxieux
  • Signe n°8 : Variabilité et fluctuations de l’expression orale

À propos de cette maladie ?


L’autisme est une « maladie » dont les symptômes sont extrêmement variés. Déjà, pour une quelconque maladie comme le diabète, les symptômes peuvent être différents d’un cas à l’autre même s’il y a des éléments récurrents. Pour l’autisme, chaque cas est différent. Seuls trois symptômes d’une appréhension assez large, est commune à tous les cas. Cela complique le diagnostic.

Avec cela, comment faire la différence entre ce qui ressort de la personnalité, et de la maladie ? Lorsque nous rencontrons quelqu’un de renfermé, ou alors au regard fuyant, est-ce de la lâcheté, de la timidité, ou de l’autisme ? est-ce sa personnalité, ou un symptôme pathologique ? L’autisme est à la fois un trait de la personnalité qu’il faut respecter, et une maladie avec des symptômes qu’il faut soulager, voire guérir.

Car qui dit « maladie », dit soins pour la guérir. Mais jusqu’à présent, aucun remède, médicament ou soin psychiatrique n’a eu le moindre effet sur elle. Par conséquent, elle est dite inguérissable… (et je rajoute) « en fonction de l’état actuel des recherches sur ce sujet » !

À noter qu’aujourd’hui, dans la communauté scientifique, on ne parle plus de « l’autisme », mais du « trouble du spectre de l’autisme (TSA) ». Comme je ne suis pas un scientifique même si j’ai ma logique, je vais continuer à parler de « l’autisme » !

Celui-ci est considéré comme un handicap depuis 1996, en France. C’est un trouble de développement d’origine neurologique ou de neurodiversité. Celle-ci implique l’existence de plusieurs types de fonctionnements neurologiques chez l’être humain.

Ceci dit, il y a trois lignes de force pouvant servir de symptôme à l’autisme. Cela donne huit signes sachant qu’il n’est pas nécessaire de les avoir tous pour être autiste, puisque chaque autiste est différent. Ces signes sont plus ou moins présents, en fonction des cas. Certains vont mettre l’accent sur un signe plutôt qu’un autre.

Pourquoi te parler de l’autisme et quel lien avec la spiritualité ?


Si je n’étais pas directement concerné, t’en parlerais-je ?

Les signes 1 et 8

Comme tu peux t’en apercevoir, j’écris et je publie des livres sur la spiritualité, et j’ai un blog sur ce sujet. C’est une forme de communication. Comment en suis-je arrivé là ?

Lors de ma scolarité, j’ai été très mauvais en français. Mes expressions orales et écrites étaient catastrophiques. Par contre, j’étais très bon en maths. Ainsi, dès ma plus tendre enfance, j’ai le premier symptôme à savoir : des disfonctionnements dans la communication et les interactions sociales. En effet, j’étais le souffre-douleur, l’enfant boule, tant en dehors de chez moi qu’au sein de ma famille ! J’ai énormément eu à souffrir de harcèlement, dans tous les groupes que j’ai fréquentés.

Encore aujourd’hui, je suis superbement ignoré par ma famille. Mon expression orale est très problématique. Lorsque je ne suis plus seul, je cherche mes mots, je bloque, je perds la mémoire, etc. Et j’ai peur de m’adresser à quelqu’un, notamment lorsque je dois défendre mes intérêts. Je suis agoraphobe, et je ne me sens bien que loin de tout le monde, en pleine nature, loin de tout.

Les troubles du comportement sont évidents. Il n’y a pas longtemps, je me suis retrouvé à devoir faire une demande, une revendication pour mon intérêt. Il m’a été impossible de la faire. Lorsqu’il s’agit de cela, j’arrive à le faire par écrit, mais encore avec difficultés. Quand il s’agit de le faire par téléphone, c’est déjà nettement plus angoissant. Mais alors, d’aller parler avec quelqu’un directement de vive voix… cela m’a été parfaitement impossible. Et pourtant, il n’y avait pas vraiment d’enjeu.

Les signes 3 et 5

J’ai sublimé mes difficultés d’expression orale par l’expression écrite, malgré mes terribles lacunes en français. En 1996, j’ai passé le bac en candidat libre, et j’ai eu un 15/20 en dissertation philosophique, ainsi qu’un 17/20 en dissertation littéraire. J’ai fait de très gros efforts pour arriver à passer du 2/20 de moyenne en français au collège, au 17/20 ! Seul un autiste peut arriver à ce résultat.

En compensant mes faiblesses en langue française par l’écrit, je me suis mis à étudier et à écrire sur la spiritualité. Cela m’a permis d’acquérir des Connaissances bien supérieures aux autres, et d’appréhender des réalités qui ne sont écrites nulle part ailleurs. J’ai surdéveloppé des compétences en ce domaine, suite à ma progression atypique en langue française.

Cela amène au deuxième symptôme. Pour les activités spécifiques, C’est évident, la spiritualité ! Tout dans ma vie tourne autour de cela.

Les signes 6 et 7

À chaque fois, c’est une angoisse qui sourde en moi. Cela me fait avoir énormément d’anxiété, avec des troubles de sommeil récurrents. En ce moment, je me réveille toutes les nuits à 2h10 complétement en nage, au point que l’eau de ma transpiration coule à grosses gouttes de mon corps, notamment dans le dos et aux parties intimes, et que cela transperce le matelas pourtant neuf de moins d’un an, et que cela mouille le sommier.

Quand transpirons-nous à grosses gouttes ? Quand il fait chaud et que nous faisons une activité physique intense, mais ce n’est pas le cas quand je dors en plein hiver à une température de 15°C dans la chambre. Ou alors, la transpiration apparaît lors d’une profonde angoisse. J’angoisse terriblement durant mes rêves nocturnes. Cela n’est pas l’unique trouble de mon sommeil…

Les signes 2 et 4

Depuis mon enfance, je suis « fleur bleue », une véritable éponge, émotif à loisir ! À chaque fois que j’ai été confronté à un événement extraordinaire comme un accident ou une nouvelle en quelque sorte miraculeuse pleine d’amour et de compassion, comme dans certains films, alors je ne peux pas m’empêcher de pleurer. Je suis hypersensible.

C’est le troisième symptôme, j’ai « tendance aux réactions inhabituelles et inadaptées aux stimulations sensorielles ».

Avec cela, il va de soi que j’ai ces routines au point que je me suis souvent fait traiter de « maniaque ».

Suis-je autiste ?


La réponse à cette question est évidente : je le suis !
Est-ce un trait de ma personnalité ? Oui !
Est-ce une maladie ? Oui !

L’enfermement

Quoi que cette découverte soit récente[3], mon autisme n’est pas quelque chose de nouveau, une lubie de quelqu’un qui se cherche, et qui recherche une reconnaissance. À bien y réfléchir, depuis quand suis-je autiste ? depuis ma naissance ! Et cet état, cette maladie, explique de nombreuses attitudes passées jusqu’à ma vie actuelle.

Cela explique pourquoi je m’enferme dans une bulle qui m’isole de ma famille et de la société, et que j’ai très peu d’amis.

De ce fait, je ne peux que m’en prendre à moi-même de ma situation :
  • Je n’ai plus de voiture, ce qui est un gros problème pour moi qui vis à la campagne. Je suis enfermé et prisonnier de mon chez-moi, matérialisation de ma prison autistique.
  • Quoi que je sois écrivain et que mes ouvrages soient majeurs en mon domaine – c’est le signe 8 : « Compétences surdéveloppées dans certains domaines » – ils ne se vendent pas et aucun éditeur ne veut les prendre pour les éditer. L’énergie qu’ils émettent est celle de la fermeture, ce qui rebute les lecteurs.

Car l’autisme est une prison. L’autiste crée autour de lui, des barrières, des murs, qui deviennent un enfermement, une prison. Plus rien ne passe, que ce soit dans un sens comme dans l’autre. L’autiste ne communique pas avec l’extérieur, même lorsqu’il le veut, cela ne sort pas. Réciproquement, rien ne rentre de l’extérieur vers l’intérieur ? C’est tellement vrai que le Divin n’arrive pas à se faire entendre de l’autiste et qu’Il est alors obligé d’utiliser les grands moyens…

Tu sais que nous créons ce que nous pensons, du moins notre psyché. Ainsi, aujourd’hui, la prison autistique s’est refermée sur moi. Je vis à la campagne, et le supermarché le plus proche est à 16Km. Comme je me retrouve sans véhicule, je ne peux plus sortir ni faire mes courses. Je reste enfermé chez moi.

Je guéris

Une fois cela admis, à quoi cela sert-il d’en parler ? Loin de moi l’envie de profiter de cette situation pour une ou de quelconques revendications. Il s’agit seulement de comprendre, pour me soigner ensuite.

Puis-je guérir de l’autisme ? Selon le savoir[4] humain actuel, la réponse est non. Selon ma conviction personnelle, par la foi que j’ai grande, je peux en guérir.

En attendant, je vais suivre les recommandations préconisées par les « spécialistes » … quand je pourrai, c’est-à-dire quand mon autisme me le permettra, puisque je n’ai plus de véhicule pour me rendre aux consultations, ni d’argent pour payer les stages et les thérapies qui me sont nécessaires.

Il me reste la prière pour en sortir[5]. Mais ma prison autistique m’empêche de communiquer avec le Divin, et réciproquement. Il me faut une foi sans faille pour continuer.

Tu as ta foi, et tu crois en quelque chose. Même si tu dis que tu ne crois en rien, en fait ne croire en rien est une croyance, voir la plus difficile à tenir !

Alors, selon ma foi qui est très profonde, je sais que le Divin n’a pas de limite. Cette croyance de l’autisme inguérissable est humaine, elle n’est pas réelle. Il s’agit d’un paradigme scientifique, c’est-à-dire un dogme de la religion scientiste. Et tous les dogmes de toutes les religions sans exception, sont faits pour être remis en question.

Alors je sais que je peux guérir… et je vais guérir ! Je guéris ; je suis guéri !

Quand ? je l’ignore !

Autres symptômes ?


L’humour

L’autiste a des difficultés à faire la différence entre l’humour et le sarcasme. Et c’est mon cas. Cela m’a mis très souvent dans des situations délicates, créatrices d’angoisses et d’anxiétés.

Le regard franc

Il est difficile aussi à l’autiste de regarder droit dans les yeux et d’avoir le regard franc. C’est mon cas. Il ne s’agit en aucune manière de lâcheté puisque je n’hésite jamais à plonger dans la mêlée lorsque c’est nécessaire. Cela n’a rien à voir non plus, avec de la timidité, puisque j’ai été danseur classique, que j’ai fait de la scène, et que j’ai eu l’occasion de faire quelques conférences qui se sont très bien passées. Quand il s’agit de spiritualité, mon domaine de prédilection, je suis intarissable !

La perception du genre

L’autiste a aussi des difficultés à se « genrer » pour reprendre un terme à la mode du wokisme que j’excrète. En effet, quoi que je sois un homme hétérosexuel, j’aime porter des vêtements féminins.

La pensée rigide

Quant à la rigidité de pensée de tout autiste, avec le temps, j’ai appris à m’ouvrir aux points de vue d’autrui. Mais il est vrai que cela s’est fait souvent suite à de sérieuses déconvenues…

Entendre

Depuis ma naissance, et cela ne bouge pas, je suis avec une audition de 8/10. Cela m’a été bien pratique pour ne pas entendre ce qu’on a voulu me dire. En fait, je me ferme. Et je dois faire un effort très important pour entendre ce que les autres me disent. Et je ne comprends pas lorsque mes interlocuteurs s’en trouvent offensés.

Évidemment, je ne supporte pas le bruit… Alors je m’isole avec de la musique en un volume sonore avez fort.

L’état mental

Ces problèmes entraînent des insomnies par un mental suractif qui participe à ne pas entendre, et à l’enfermement.

Ce sont aussi des états nerveux de surexcitation se traduisant par de fortes anxiétés et du stress avec des manies nerveuses comme de se ronger les sangs aux doigts et aux lèvres.

Cela provoque :
  • Des sautes d’humeur fréquentes
  • Des difficultés de concentration
  • Une inquiétude excessive
  • Une préoccupation à propos d’un sujet
  • Une tendance à la dépression
  • C’est aussi un possible mutisme.

Pour conclure


À la question de savoir si je suis autiste, la réponse est évidemment : « oui » !

Est-ce à dire que tout est perdu ? Absolument pas ! Au contraire, c’est une chance. C’est par cette « maladie » que je me suis découvert et que j’ai pérégriné au point d’être celui qui a une spiritualité hors du commun, tout en gardant une forte attache à la réalité.

Évidemment, c’est cohérent suite à mes vies passées et le peu que j’en ai le souvenir ou que certains ont pu me rappeler. Cette prison autistique m’a permis une introspection extrême, une compréhension de la Vie hors du commun et d’accomplir l’un des yogas de l’éveil, le Jnâna-yoga, celui de la véritable Connaissance. Maintenant, autant que j’en fasse profiter tout le monde.

Alors, mes ouvrages sont boudés. Je comprends qu’il soit assez malaisé d’y pénétrer pour toi qui es pris dans l’illusion de Mâyâ, et attachés à vivre dans la facilité de notre civilisation occidentale et de la consommation facile. Ceci dit, pour s’éveiller à la Vie, il faut pratiquer les quatre Yogas :
  • Le Karma-yoga – le Service
  • Le Bhakti-yoga – la dévotion
  • Le Jnâna-yoga – la Connaissance
  • Le Jara-yoga – la méditation

Profites-en, mes ouvrages t’amènent le troisième.

Quant à l’autisme, pour information, consulte ce qu’en dit « la science » ! [6]

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Pour la progression de l’humanité dans l’Amour



Notes


[1] Voire ci-après la réponse à la question : Serais-je autiste ?
[3] Fin novembre 2024
[4] Ne pas confondre le savoir et la connaissance !
[5] Je pratique une sadhana qui dure presque deux heures tous les matins.
[6] Pour information, cette page est largement inspirée d’informations tirées d’internet dont :

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Shani Elijah

Ma photo
Depuis mon enfance, j’ai pris l’habitude de me remettre en question et de lâcher prise. Autodidacte, toutes mes connaissances et mes réussites font suite à un profond travail sur moi-même. Ma quête : la Maîtrise. Enfant boule parce que différent des autres, je suis un souffre-douleur. Après quatre décennies d’errances affectives avec tous les problèmes et les perversions que cela implique, deux divorces, des échecs professionnels retentissants, des réussites tout aussi valorisantes, un chemin chaotique, je suis riche d’une large palette d’expériences. La Vie m’a aidé à me remettre en question ce qui me confère une certaine ouverture d’esprit, une conscience originale de la réalité, une vision construite du futur, le discernement. Ne me contentant pas des insuffisances et des contradictions des religions, je découvre la réalité cachée, tant sur le plan religieux que sur celui de la réalité sociale et économique de notre monde. Passionné par la découverte du Soi, je cherche l’essentiel. N’appartenant à aucune religion ni mouvement spirituel, je défends la laïcité. Anticonformiste, mes opinions vont à l’encontre de l’évidence communément admise.